London's Butler
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 Sweety magical monster -Candy-

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Sweety magical monster -Candy- Empty
MessageSujet: Sweety magical monster -Candy-   Sweety magical monster -Candy- EmptyDim 21 Juin - 14:44

»Marilyne Verran «

   

   X © Bouno Satoshi
Fiche du Personnage
Surnom: Candy
   Age: 17 ans
   Nationalité:Française
   Emploi/Etudes:Magicienne
   Groupes:Humans
   Rang : Noah's Ark
   Sexualité: Hétérosexuelle
    Arme : Une dague cachée dans sa botte

   
Caractère et Physique
Qualités: Calme/Discrète/Courageuse/Gentille/Imaginative/Rêveuse/Douée en bien des domaines/Apprend très vite/Perspicace
   Défauts:Froide bien souvent/Distante/Solitaire/Fragile
   Aime: La glace, danser, aimait chanter, la musique
   Déteste:Qu'on lui donne des ordres, a peur des démons
   Trait de physique : Plutôt petite et fine, une peau très blanche comme si elle n'avait jamais été exposé au soleil. Visage très fin et harmonieux, petite lèvres légèrement pulpeuse, canines plus grandes que la normale, yeux de félins couleur améthyste avec de long cils, oreilles pointues et longs cheveux d'argents. Porte toujours des cornes sur la tête et des vêtements pastels et plein de dentelles.
   Particularité : Est muette

   
It's my secret
Histoire
« Il était une fois »... C'est ainsi que commence généralement les histoires, les contes, non ? Sauf que ce qui va être narrer est loin d'être un conte de fée, alors je ne commencerai pas par il était une fois. Il s'agit d'une histoire vraie, même si elle ressemble à un conte pour enfant connu... Du moins, au début.

Tout commence en France, Paris, un camp de bohémiens installé près de la Seine. Et tout part d'une personne, une femme du nom de Miranda Verran, rêvant encore à plus d'une vingtaine d'années, au prince charmant, à l'amour, la beauté éternelle et aux bambins à choyer. Malgré ce que la vie lui avait imposé... Seule, laide et dans l'incapacité d'enfanter. Elle n'avait plus de famille et vivait avec ses frères et sœurs de cœurs, dansant et chantant pour vivre, volant parfois, tous semblaient biens sauf cette pauvre femme. Ils avaient tous voyagé longtemps ensembles, tous venaient du sud du pays, et tous étaient venu à Paris.

Plus le temps passait, plus Miranda perdait l'espoir de connaître un jour le bonheur, son bonheur, selon elle, mais un jour, alors qu'elle lavait son linge dans sa petite bassine à l'écart des autres femmes, une ombre recouvrit la sienne. Levant la tête, la jeune femme découvrit que derrière elle se tenait un homme de grande taille, sombre, avec des yeux d'un rouge étincelant qui fixaient la jeune femme comme un loup affamé fixerait un mouton. Il s'inclina face à elle, les autres ne semblaient pas le voir, Miranda et lui était comme prisonniers ensemble dans une bulle invisible pour toutes personnes extérieures. Il se présenta à elle comme son bienfaiteur et celui qui la sortirait de la misère et de la tristesse. La jeune bohémienne but ses paroles aussi aisément que si il s'agissait d'un verre d'eau bien frais par cette chaleur. Il la fit rêver, lui promettant jeunesse, beauté et surtout... Enfants. Alors qu'elle était charmée, il lui exposa qu'il n'était pourtant pas un ange ou une autre créature de ce genre, mais bel et bien un démon, mais cela ne sembla pas déranger Miranda qui continua de le regarder comme si il était son ultime espoir. Le diable lui parla des termes de son contrat, tout ce dont elle rêvait contre, au choix, son âme ou son premier né. La jeune femme, emportée par l'euphorie de cette aubaine de voir ses rêves se réaliser, opta sans hésiter pour le bébé, après tout, se disait-elle, elle en aurait d'autres. Le pacte fut conclut. Miranda obtint une beauté sans pareille et la fertilité, tout ce dont elle rêvait depuis tout ce temps, comme il avait dit. Le temps reprit son cour sans que personne ne remarque le changement, comme si cela avait toujours été, mais ne vous méprenez pas, il avait bien l'intention de lui prendre son âme en plus de l'enfant... La bohémienne eut par la suite énormément de succès auprès des hommes.

Neuf mois plus tard, Miranda donna naissance à son premier enfant, une petite fille dont l'apparence surpris plus d'un. La pouponne était d'une beauté presque surnaturelle alors qu'elle venait de naître. Sa peau était de porcelaine, douce, elle avait de grands yeux félins de couleur améthyste, des oreilles en pointes et des cheveux argentés, des malformations, des défauts... Et pourtant elle était magnifique. Mais la jeune maman était nerveuse à la grande incompréhension de sa famille d'infortune, elle, savait très bien pourquoi. Le démon. Il allait venir enlever son enfant. La petite venait à peine de naître mais, plus sa mère la regardait plus elle s'y attachait et voulait la protéger de ce monstre qui menaçait de faire son retour pour faire on ne sait quoi de cette adorable perle.

Cependant, le diable aux yeux de braise ne se montra jamais. Les années passèrent. La petite que l'on avait nommée Marilyne grandit dans l'ignorance de l'horrible pacte de sa mère, devenant toujours plus belle et très douée en plus. Elle avait apprit l'art de la danse, du chant -qu'elle maîtrisait à merveille- et quelques tour de passe-passe, de la prestidigitation de base. Même si elle n'apprit jamais à lire ou a écrire, la fille de la bohémienne devint quelqu'un de bien, appréciée de toute cette grande famille d'artiste de rue.

Quinze années étaient maintenant passées depuis la naissance de cette petite perle bohémienne. Marilyne était tout simplement splendide, bonne et généreuse avec tous. La fête d'anniversaire de la jeune fille se terminait sur cette dernière exécutant un solo a cappella d'une chalon populaire parmi les bohémiens, elle chantait divinement bien. Le feu fut éteint, la nourriture rangée et tous s'endormirent dans la quiétude la plus totale... Mais durant la nuit, une petite braise se ranima pour redevenir une flamme qui grossit encore et encore pour se métamorphoser en monstre léchant et engloutissant tout ce qui se trouvait sur son passage. Et il se tenait là, au milieu des flammes, écoutant les cris d'agonies des premiers touchés par l'incendie. Miranda réveilla vite sa fille, l'habilla rapidement du plus chaud manteau qu'elle trouva et fuit avec elle, il était de retour, pour sa fille, sa précieuse Marilyne. Il ne devait prendre que elle, mais le diable venait de lui prendre tout ce qu'elle avait.

Durant des jours entiers, les deux femmes, par tous les moyens possibles, s'éloignaient de Paris pour aller dans le nord. Mais Miranda savait pertinemment qu'il retrouverait sa progéniture, elle le sentait, et se devait de l'envoyer le plus loin possible. Elle arrivèrent au port, devant un bateau qui partait directement pour l'Angleterre, c'était la seule issue de secoure pour la jeune fille. Elle la fit embarquer clandestinement, lui donnant quelques provisions, des couvertures et une adresse. Un ami à elle habitait à Londres et il serait certainement ravie d’accueillir la fugitive. Une dernière embrassade et le bateau partit...



Marilyne ne saurait dire combien de temps avait duré le trajet, mais il fut extrêmement long, surtout qu'elle devait rester cachée, ne jamais révélée sa présence. Enfin le navire s'arrêta. Très discrètement, la jeune fille descendit et se hâta de voler quelques argents dans les poches des passagers riches qui eux aussi descendaient. Ce fut avec ce maigre butin qu'elle se paya une chambre dans un hôtel miteux, au moins pour passer la nuit et reprendre des forces pour atteindre Londres.

Heureusement pour elle, plusieurs bonnes personnes acceptèrent de l'emmener à tel ou tel point, afin de trouver quelqu'un d'autre qui l'aiderait à s'approcher un peu plus de sa destination finale. Au bout de plusieurs jours, la jeune fille fut à Londres. Bien impatiente de trouver refuge, elle se hâta de se rendre à l'adresse donnée par sa mère, tracassée par la raison de sa venue ici. Sa mère ne lui avait rien dit, elle ne savait même pas qui était cet homme. Que se passait-il ? Qu'était devenue sa mère ? Et les autres bohémiens ? Marilyne, pensive, toqua à la porte qui correspondait à l'adresse sur le bout de papier donné par Miranda. Un homme lui ouvrit, de taille moyenne, mal rasé mais avec une certaine classe. En anglais, il lui demanda quelque chose qu'elle ne comprit pas. Et ce fut en français, elle, qu'elle lui demanda si il était la personne qu'elle cherchait. Un sourire illumina le visage de l'homme et il se mit à lui parler dans leur langue maternelle. Il se révéla être le meilleur ami d'enfance de sa mère, il répondait au nom de Éric Gwendin, ancien bohémien en quête d'aventure, il était venu s'installer en Angleterre pour démarrer une nouvelle vie.

Au début le courant passait bien entre les deux. Éric apprenait l'anglais à Marilyne et quelques soirs, la jeune fille chantait dans le pub que tenait l'homme. Au bout d'un an et quelques mois, la perle bohémienne comprenait parfaitement l'anglais, elle apprenait décidément très vite. Mais les leçons se faisaient de plus en plus rares... La jeune française passait de plus en plus de temps dans le pub du commerçant, contre son gré. Il la traînait sur scène alors que celle-ci était épuisée, les quelques pièces de pourboire ne lui revenaient plus et il l'exposait de plus en plus à la clientèle masculine... Sans compter les tenues de plus en plus courtes et... Démonstrative qu'il lui faisait porter, afin d'attirer plus de monde. Certes, les femmes venaient moins, pour le peu qu'elles étaient, mais le chiffre des hommes fréquentant le pub avait doublé. Cela devenait de plus en plus difficile pour Marilyne, et bientôt, quand elle ne faisait pas que ce Éric lui disait, il la frappait, la battait à même le sol. Un jour il lui dit très clairement « Sois belle et tais toi ! », alors dans un élan de rébellion, Marilyne s'arrêta de chanter, et même de parler. Elle n'était plus une artiste, mais une bête de foire, elle n'était plus belle, elle n'était plus qu'un monstre chantant et elle ne le supportait plus, elle en souffrait énormément et le peu de répit qu'elle avait elle le passait à pleurer dans le cagibi qui lui servait à présent de chambre.

Voyant bien que malgré les punitions la jeune fille ne lui servait plus à rien, il la jeta à la rue, sans pitié, sans remords. A peine vêtue Marilyne fuit, encore, le plus loin possible de cet individu odieux et cupide. Elle courut jusque tard dans la nuit et elle fini par percuter quelqu'un.

Elle leva la tête et tomba nez à nez avec une paire d'yeux rouges, flamboyants dans la nuit. L'homme à qui appartenait ce regard effrayant, sourit, dévoilant une rangée de dent pointue et certainement tranchantes comme des lames de rasoir. La jeune fille eut à peine le temps de recule qu'il l'attrapa par la gorge et la souleva à sa hauteur. Alors qu'il s'apprêtait à poser une longue langue noire et visqueuse sur elle, un ombre pourfendit l'air, croisant le démon à hauteur de sa tête. Il cria alors qu'il lâchait Marilyne et que deux choses tombaient au sol : des cornes. De l'autre côté de la ruelle se tenait un second homme, en costume à cravate, de long cheveux blond noués en queue de cheval, une paire de lunette sur le visage et une épée à la main. Il se retourna et cria à la jeune fille de s'enfuir, ce qu'elle fit, tout en emportant les étranges cornes avec elle, au cas ou cela val quoi que ce soit chez un antiquaire pour se faire quelques pièces avec... Le jour fini par pointer le bout de son nez et Marilyne, tout simplement épuisée se rendit chez l'antiquaire le plus proche, mais elle n'obtint rien des cornes ramassées pendant la nuit, alors elle les garda avec elle.

Quelques mois passèrent, la jeune fille, devenue totalement muette depuis ce jour -volontairement ou par traumatisme ? On ne sait pas-, volait des gens dans la rue et exécutait quelques jeux truqués et tours de magie pour gagner un peu d'argent histoire d'avoir la possibilité de s'acheter de quoi manger. Et un jour, le cirque passa dans la rue. Marilyne fut intriguée et intéressée à la fois. Et si elle tentait sa chance ?

Plus tard on retrouva cette jeune fille de bohémienne, intégrée à la troupe du Noah's Ark Circus en tant que magicienne, sous le nom de Candy à cause de la douceur qu'elle inspirait. Et elle portait sur la tête deux cornes, en accessoire, ainsi qu'une robe toute de tulles et de froufrous. On ne savait rien d'elle, elle ne parlait pas, elle mimait pour se faire comprendre, mais ce n'était rien. Elle faisait partie de la famille du cirque à présent.

   
Miranda Verran
Mère
Miranda a toujours été une jeune femme aimante envers sa fille malgré l'étrange physique dont elle a été doté à la naissance. C'est une belle, vraiment belle femme, tout comme sa fille. D'ailleurs on ne sait pas qui est le père, Miranda a et tellement d'amants... Après la fuite, Candy n'a plus eut aucune nouvelle, le démon a-t-il finalement eut son âme ?

Eric Gwendin
Tortionnaire
C'est lui qui a gentiment hébergé Candy pendant un temps à son arrivée à Londres, mais ce fut bref... a partir du moment où il commença à l'exploiter et à la battre, le monstre de l'histoire, ce fut lui. On en sait pas non plus ce qu'il est advenue de lui après qu'il ai jeté la jeune fille à la rue.

Démon inconnu
??
Candy ne sait pas quel horrible pacte sa mère à conclut avec cette créature cauchemardesque. Elle ne sait rien à son sujet ni pourquoi il la poursuivit ainsi, mais en tout cas, ce sont ses cornes qu'elle porte.

Inconnu
Sauveur
La jeune fille ignore totalement l'identité de son sauveur lors de cette fameuse nuit où le démon l'a attaquée. Il s'agit d'un shinigami -au cas ou vous n'auriez pas deviné-. Après que Candy se soit sauvée, la bataille entre les deux créatures à continuer, qui en est ressorti vainqueur ?

La troupe du cirque
Nouvelle famille
C'est parmi eux que Candy vit à présent. Ils semblent tous l'apprécier et elle aime tout le monde, même si elle reste souvent dans son coin. Elle n'a pas d'affinité avec des membres en particulier mais si elle se mêlait un peu plus cela changerait.

   Fiche créée par Madouce pour Epicode

Code du règlement ?: Validé apr Abi ~♥


Dernière édition par Candy le Mar 30 Juin - 14:59, édité 11 fois
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Neal Allen
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Neal Allen


Messages : 5
Date d'inscription : 19/06/2015

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MessageSujet: Re: Sweety magical monster -Candy-   Sweety magical monster -Candy- EmptyDim 21 Juin - 17:29

Edit : OKAY BEN J'TE DIS PAS BIENVENUE TOI
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MessageSujet: Re: Sweety magical monster -Candy-   Sweety magical monster -Candy- EmptyMar 30 Juin - 22:39



BIENVENUE CANDY

L'équipe du staff et moi-même te souhaitons d'avoir de belles aventures sur ce forum. Nous allons dès à présent revoir l'ensemble de ta fiche :

• Le code est valide.
• Ton expression est fraîche et plutôt épurée. Le style est très agréable.
• Rien ne semble manquer.
• Cette histoire... wow elle est vraiment très captivante et donne vraiment envie de savoir la suite !

Je n'ai rien à redire à cette fiche, je te valide tout de suite et déplace ta fiche ~


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MessageSujet: Re: Sweety magical monster -Candy-   Sweety magical monster -Candy- EmptyMar 30 Juin - 22:42

Merci ^o^/
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MessageSujet: Re: Sweety magical monster -Candy-   Sweety magical monster -Candy- Empty

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